10 conseils pour mieux fidéliser et convertir avec ses campagnes marketing.

Hélène Froment
Catégorie : Email marketing
Qu’elles aient pour objectif de fidéliser, acquérir de nouveaux clients ou vendre les offres promotionnelles du moment (Black Friday, Noël, les soldes…), les campagnes marketing jouent un rôle crucial dans l’expérience client et la conversion. Après la mise en place de bonnes pratiques, c’est maintenant le moment de porter une attention particulière aux fondamentaux de l’emailing, pour aussi pouvoir revenir aux fondamentaux de la relation client. Voici 10 conseils indispensables à la réussite de vos campagnes :
Les insérer dans le header et dans le footer évite à vos lecteurs de scroller la totalité de l’email pour y accéder. Mais quels sont-ils ?
Par exemple : « Hélène de chez Splio ». D’une part, votre destinataire aura l’impression de recevoir un email de la part d’une « vraie personne » – ce qui est la vérité après tout – et d’autre part, vos plus fidèles consommateurs seront plus enclins à l’ouvrir avec la mention de votre entreprise puisqu’ils vous identifieront à coup sûr.
Si en principe un objet d’email ne compte aucune limitation, dans les faits c’est tout autre chose. En effet, un objet trop long ne sera pas affiché en entier selon la messagerie ou l’appareil de lecture utilisé(e). Voici un petit récapitulatif des limitations par messagerie pour vous guider :
Sur les smartphones ou les tablettes, le nombre de caractères affichés est encore plus court, 30 caractères sur l’iPhone, par exemple. Selon la SNCD, 81 % des emails marketing sont lus depuis un appareil mobile. Pensez donc mobile en mettant vos messages clés dans les premiers caractères de votre objet.
Souvent méconnu et peu utilisé, le pré-header de vos emailings pourraient vous aider à doper votre taux d’ouverture. Qu’est-ce que le pré-header ?
C’est la phrase qui succède l’objet de votre email mais aussi la première phrase de votre emailing. Le pré-header est visible majoritairement sur les messageries mobiles mais également sur quelques messageries web (comme Gmail ou Outlook). Les expéditeurs ne pensent pas à leur pré-header qui est généralement utilisé pour la mention « voir cet email dans mon navigateur », première phrase de l’email… une erreur ! Mieux vaut mettre toutes les chances de votre côté en occupant cet espace avec un message percutant, qui complèterait par exemple votre objet. La place disponible dépend cependant de la longueur de votre objet. Tout ce qu’on vous conseille c’est d’en faire bon usage en liant le contenu de votre pré-header avec l’objet de votre email.
Exit les pavés de texte sans image et bonjour la règle des 2 tiers/1 tier. En d’autres termes, offrez un message clair et concis avec un email structuré comportant 2 tiers de texte et 1 tier d’images. Surtout, évitez d’envoyer la totalité du contenu de votre email au format image, vous serez bloqués par les filtres anti-spams des fournisseurs d’accès. D’une part, vos clients ne recevraient jamais votre email et d’autre part, votre délivrabilité en pâtirait. Et pour clore ce conseil sur l’agencement d’un email, essayez de mettre votre call-to-action au-dessus de la ligne de flottaison, ligne virtuelle en dessous de laquelle le contenu d’un email n’apparaît pas à l’écran si le lecteur ne descend pas son curseur.
Commencez par dire bonjour en indiquant le prénom de votre interlocuteur. Ensuite, si la forme peut rester la même pour tous vos interlocuteurs, le fond doit lui-aussi être personnalisé individuellement. Vous pouvez par exemple proposer une sélection de produits/de marques que votre lecteur est susceptible d’apprécier au vu de son historique d’achat. Un tel email sera 100 % personnalisé et vos chances de convertir d’autant plus élevées.
Evitez d’écrire votre message en majuscules et en gras. C’est aussi agressif que mauvais pour votre délivrabilité. Si vous souhaitez mettre en lumière un message clé, un peu de gras et de couleur sont autorisés. Le tout étant de subtilement les doser et de ne pas faire du ton sur ton, c’est-à-dire mettre votre texte de la même couleur que le fond de votre email. La sobriété passe aussi par le fond : oubliez les spams words qui peuvent être perçus comme des emails d’arnaque par les messageries. Dites donc au revoir aux mots comme « shopping », « meilleur prix», « promotion spéciale », « cadeau », « gagner », etc. Vous pouvez les remplacer par des émoticônes… mais toujours avec parcimonie.
Ce n’est pas un prérequis en matière d’emailing et de délivrabilité mais cela vous permettra d’être lu par les personnes ayant désactivé la lecture html de leurs emails.
Il s’agit d’une organisation mondiale régissant les grands standards techniques du web. Ces normes changent très régulièrement. Nos recommandations seraient de :
Enfin, testez votre email sur les différentes messageries (Gmail, Outlook, Yahoo!…) et appareils (ordinateurs, smartphones, tablettes, etc.) avant de l’envoyer en masse. La SNCD indique que lorsque les images d’un emailing n’apparaissent pas, les internautes l’effacent ou l’ignorent constamment ou presque.
Pour conclure, on ne vous conseillera jamais assez de faire de l’A/B Testing sur 10 % de votre base (5 % par choix). La création d’emailing ne découle pas d’une science exacte. C’est pourquoi le test & learn doit être votre leitmotiv pour envoyer l’email gagnant au reste de votre base.
Sommaire